Elle est super belle l'image. Au sujet du génie je préfére la théorie de J. Joyce tel qui l'a développe dans son livre "Ulysses". Elle peut se vérifié chaque instant.
J'ai été séduite par la référence au non utilitaire. Tellement raffraichissant à notre époque de la rentabilité. Je pense qu'effectivement, le génie ne constitute pas un cran rentable de l'engrenage capitaliste. Mais la définition n'est que partielle. Je ne me rappelle pas la théorie de Joyce dans "Ulysses", en quoi consiste-t-elle?
Dans le rectangle étroit qui accueille ce post, il est difficile de réduire la proposition de J. Joyce. En y réfléchissant, qu'elle pourrait être, au mieux un schème de pensée, une introduction à la thèse de James Joyce? En fait cette théorie du génie dans "Ulysses" est déjà une réduction du livre. C'est clairement la réduction la plus heureuse pour apprécier l'œuvre de Joyce, tant qu'à en avoir une. L'autre réduction, pour donner à entendre la thèse de Joyce, pourrait celle d'une comparaison avec la relation amoureuse, mais à partir du deuil de celle-ci. Pour aller plus loin encore, je ne vois pas d'autre sens comparable que celle de la description de "l'expérience fantôme". La comparaison réductive est celle-là : Le génie c'est celui qui fait "l'expérience fantôme" de sa propre existence. Il en reviens et à chaque fois nous reprends son récit. Ce n'était pas quelque chose d'inconnu avant Joyce. Cependant Joyce nous dit quelque chose de plus que tout autre avant lui. Il nous dit que tout le monde le fait et de la façon la plus imprévisible. Il appelle cela L'Epiphanie....
Intriguant, merci. J'ai toujours eu de la peine avec Ulysses, je pense parce que j'ai essayé de le lire en anglais. C'est un texte difficile, et je lis quand même mieux le français que l'anglais... Mais c'est déprimant de prendre une traduction quand on peut lire l'original. J'aime beaucoup les "Dubliners" et aussi le film que John Huston a fait d'une histoire, "the dead", la dernière nouvelle, extraordinaire, de ce recueil, je crois.
Je voulais vous demander s'il vous intéresserait de contribuer un texte (aussi long ou court que vous le souhaitez) à ce blog de la curiosité. Vous avez éveillé ma curiosité avec votre approche de Joyce et de Ulysse, j'aimerais en entendre plus. Anonyme ou non. Vous pouvez me joindre directement à arablabla@hotmail.com.
Elle est super belle l'image. Au sujet du génie je préfére la théorie de J. Joyce tel qui l'a développe dans son livre "Ulysses". Elle peut se vérifié chaque instant.
ReplyDeleteJ'ai été séduite par la référence au non utilitaire. Tellement raffraichissant à notre époque de la rentabilité. Je pense qu'effectivement, le génie ne constitute pas un cran rentable de l'engrenage capitaliste. Mais la définition n'est que partielle.
ReplyDeleteJe ne me rappelle pas la théorie de Joyce dans "Ulysses", en quoi consiste-t-elle?
Dans le rectangle étroit qui accueille ce post, il est difficile de réduire la proposition de J. Joyce. En y réfléchissant, qu'elle pourrait être, au mieux un schème de pensée, une introduction à la thèse de James Joyce?
ReplyDeleteEn fait cette théorie du génie dans "Ulysses" est déjà une réduction du livre. C'est clairement la réduction la plus heureuse pour apprécier l'œuvre de Joyce, tant qu'à en avoir une. L'autre réduction, pour donner à entendre la thèse de Joyce, pourrait celle d'une comparaison avec la relation amoureuse, mais à partir du deuil de celle-ci. Pour aller plus loin encore, je ne vois pas d'autre sens comparable que celle de la description de "l'expérience fantôme". La comparaison réductive est celle-là :
Le génie c'est celui qui fait "l'expérience fantôme" de sa propre existence. Il en reviens et à chaque fois nous reprends son récit. Ce n'était pas quelque chose d'inconnu avant Joyce. Cependant Joyce nous dit quelque chose de plus que tout autre avant lui. Il nous dit que tout le monde le fait et de la façon la plus imprévisible. Il appelle cela L'Epiphanie....
Intriguant, merci. J'ai toujours eu de la peine avec Ulysses, je pense parce que j'ai essayé de le lire en anglais. C'est un texte difficile, et je lis quand même mieux le français que l'anglais... Mais c'est déprimant de prendre une traduction quand on peut lire l'original. J'aime beaucoup les "Dubliners" et aussi le film que John Huston a fait d'une histoire, "the dead", la dernière nouvelle, extraordinaire, de ce recueil, je crois.
ReplyDeleteJe voulais vous demander s'il vous intéresserait de contribuer un texte (aussi long ou court que vous le souhaitez) à ce blog de la curiosité. Vous avez éveillé ma curiosité avec votre approche de Joyce et de Ulysse, j'aimerais en entendre plus. Anonyme ou non. Vous pouvez me joindre directement à arablabla@hotmail.com.
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