Je trouve qu'il n'y a rien d'adorable chez Jacques Derrida.
Sauf ses parents. Trois anecdotes:
Les parents de Derrida l'ont nommé Jackie en honneur au petit garçon dans le "Kid" de Chaplin. Qu'y pourrait-il y avoir de plus adorable? Il a changé son nom plus tard en Jacques, plus distingué.
Les parents de Derrida l'ont nommé Jackie en honneur au petit garçon dans le "Kid" de Chaplin. Qu'y pourrait-il y avoir de plus adorable? Il a changé son nom plus tard en Jacques, plus distingué.
A un repas avec des
amis, ceux-ci félicitaient Derrida de ce que "différance" avec un a
était entré dans le dictionnaire. La mère de Derrida s'est tournée vers lui, avec ce reproche:
"Oh, Jackie, tu n'as pas su écrire juste "différence"?!"
Sa mère gisait
mourante dans son lit d'hôpital. Elle gémissait. Derrida s'est penché vers
elle:
"Où souffres-tu,
Maman?"
" J'ai ... mal
... à ... à .... ma ... mère."
Publié par - -
Arabella Hutter
As far as I'm concerned, there is nothing adorable about Jacques Derrida. It's a different case when it comes to his parents. Here are three anecdotes:
His parents named him Jackie, after the little boy in Charlie Chaplin's "The Kid'. How adorable is that? Later, Derrida changed his name to Jacques, which sounds more elegant.
At a dinner party, Derrida's friends were congratulating him on his "différance" having made it into the French dictionary. Différance being a word that Derrida created to express a different concept from "différence", as it is usually spelled. Derrida's parents turned to him, upset: "Jackie, come on, didn't you know how to spell "différence" correctly?
Finally, as his mother was dying in her hospital bed, Jacques leant towards her and asked where she hurt. She replied, barely audibly:
"I ... hurt ... at ... my ... mother..."